Voici l'histoire...

Messages : 11 Date d'inscription : 20/09/2008

Tu as eu raison Thétys dit thomas, mais je te conseille de ne pas rester ici, prend les vêtements que ma mère va vous donner et partez.

Je le regardais avec étonnement, les larmes aux yeux,, je ne pouvais plus parler. Un seul mot sorti de ma bouche....
- Pourquoi ?

- Ne pleure pas ma Thétys, mon père est gravement malade comme tu le sais, c'est très contagieux et je ne crois as que le village en réchappera. Oui le village..... plusieurs maison sont déjà toucher, les habitants ont tous trépassés.... sauve ta vie , va t en....

Je n'avais qu'une envie me jeter dans ses bras, je m'avançais, il eu un mouvement de recule
- Je suis peut être déjà contagieux, ne me touche pas.

je pris les vêtements.

- Bien alors nous partons...

Je fis signe à Demeclehenne

Messages : 25 Date d'inscription : 24/08/2008

Un étrange mal aise me saisit à la gorge...
Lourde de remords, je m'enracinai dans un silence profond, tant troublée que je n'osai pas même regarder autour de moi. Thetysea parlait à Thomas, son fiancé que je venais hardiment lui voler. Pourquoi ? Pour le coeur d'un politicien que ne m'importait guère. Pour les "bonnes moeurs". Pour affaires, toujours pour affaires. Et moi, si décidée, si prompte à sauter sur la moindre occasion de me faire remarquer, je n'avais pas pensé aux désastreuses conséquences de mon plan. J'étais là, recueillie par la famille d'une enfant charmante, fiancée à un homme charmant, alors que je venais lui demander (pire, lui ordonner) de tout quitter. De quel droit ??!

Toujours prostrée dans le coin de la pièce, muette comme une tombe, j'entendais les râles incessants du père malade. Que faire ? Continuer ma mission coute que coute, quitte à enlever la fille ? Renoncer à ma mission pour les aider ? Mais la seule solution pour les aider serait de ne plus jamais intervenir dans leur vie... La porte était là, juste derrière, j'aurais pu sortir discrètement. Mais étrangement, j'étais aralysée, clouée sur place. Ce cruel dilemme faisait battre mon coeur à m'en rompre les tempes, et je sentais le sang bouillonner dans mes veines. Il fallait prendre une décisision. Vite.

Messages : 11 Date d'inscription : 20/09/2008

- euhhhhhhhhhhhh avant je vous présente Démécléhénne, c'est tout ce que je connais d'elle ... vous allez comprendre comment nous nous sommes rencontrées....

j'expliquais mon aventure, mon abominable aventure , j'étais debout et je gesticulais en revivant ces événements. Ils me regardaient bouches bées...

- Voilà pourquoi nous sommes en petite tenue, vous étiez les seules personnes chez qui je pouvais me réfugier.

un gémissement venant de l'étage me glaça le sang, un râle presque inhumain...

Admin Messages : 306 Date d'inscription : 22/08/2008

Vous remarquez sans peine leurs mines défaites et l'ambiance lourde qui pese dans cette maison.
"Mon coeur c'est toi."
Même si voyez le sourire que son visage affiche, vous sentez dans le ton qu'il emploie que tout ne va pas bien.
"Père est malade... la peste rouge..." Thomas se met à pleurer "Il est tellement contagieux que le medecin nous à demendé de ne même pas aller le voir."
Vous entendez un râle venant de l'étage, confirmant les dires de Thomas. Thétyséa à l'air d'avoir le coeur fendu de voir son fiancé dans cet état, et ses yeux brillent des larmes qu'elle refuse de faire sortir.
La mère se racle la gorge et prend la parole:
"Vous n'etes certainement pas ici pour ça, à en juger par votre tenue. Asseyez vous pres du feu et mangez un bout avnt de nous expliquer la raison de votre venue"

Messages : 11 Date d'inscription : 20/09/2008

Démécléhenne à l'air de me faire confiance, je la prends par la main et l'amène à travers champs. Nous voyons déjà le toit de la maison de Thomas, sa cheminée recrache abondamment de la fumée, hummm une bonne soupe en perspective..... plus que quelques mètres...
Je frappe à la porte et entre. Il est là avec sa vieille mère, ils mangent à la lumière d'une bougie à moitié consumée, relèvent la tête dans notre direction.

Messages : 25 Date d'inscription : 24/08/2008

Je suis Thetysea qui a visiblement l'air plus au courant que moi.... Je ne sais pas qui est cet ami Thomas, mais si elle a confiance en lui, je marche...

Messages : 11 Date d'inscription : 20/09/2008

Après avoir sauté par la fenêtre, avoir couru comme des folles, il ne manquait plus que ça....nous nous retrouvions devant le repère des crapules qui m'ont enlevée. Je pris démécléhénne par le bras et l'attirais derrière les arbres.

- Nous ne sommes pas très loin de chez mon ami Thomas, chez lui nous trouverons de quoi nous vêtir correctement, nous restaurer etc... mais ne compte pas sur moi pour entrer dans ce nid de serpents. vient avec moi , c'est par ici !!!

Messages : 25 Date d'inscription : 24/08/2008

Je me remets lentement de mes émotions. On s'en est sortie. Vivantes qui plus est. C'est tout ce qui compte. Thétyséa a l'air d'aller aussi. Mais maintenant... que faire ? Il fait nuit noire, le froid se fait progressivement sentir. Mon cour bat encore très vite, je n'arrive pas à réfléchir. Il nous faudrait un endroit où s'abriter, manger, et passer la nuit, car nous avons toutes deux besoin de repos. Toutefois il serait préférable de marcher encore un peu, pour être bien sûres de n'être pas suivies. Après quelques minutes encore de marche, j'aperçois au loin une lueur de torches qui éclairent une grande enseigne. Ce doit être une auberge. Je demande à Thétyséa si elle veut s'y arrêter. Je suis épuisée...

Admin Messages : 306 Date d'inscription : 22/08/2008

... je n'aurai pas si bien dit...

La vieille femme se débat en hurlant souss la couverture. Vous avez quelques seconde devant vous. Démécléhenne s'empare d'une chaise et s'apprette à taper sur la vieille, mais Thétyséa l'arrete dans son geste.
"J'ai entendu des pas dans l'escalier, je pense qu'il est plutot temps de filer"
En faisant le tour de la piece, leurs regards se posent sur la fenetre. Elles sont au premier étage mais c'est surement mieux que d'attendre les deux lourdeaux. Elles prennent leur élan au moment où la porte s'ouvre avec fracas. Elles se jettent par la fenetre, passent au travers la vitre pour retomber quelques metres plus bas au milieu d'une rue déserte en pleine nuit.
Vous prenez une seconde pour vous rendre compte que vous etes en un seul morceau, et vous déguerpissez avant de revoir surgir les deux gros bras à votre poursuite.

Messages : 11 Date d'inscription : 20/09/2008

la vieille occupée avec démécléhénne ne faisait pas attention à moi, j'en profitais pour attraper la couverture crasseuse, et la lui balancer dessus. Elle fut si surprise quelle en échappa son couteau. Elle se mit à hurler si fort qu'on aurait dit un cochon qu'on égorge d'ailleurs les chiens ne tardèrent pas à arriver....

Admin Messages : 306 Date d'inscription : 22/08/2008

...et passe à quelques centimettre du torse de Démécléhenne.
La vieille femme pousse un hurlement de frustration en se retournant. Démécléhenne se trouve face à elle, avec Thétyséa à quelques pas dans son dos.

Qu'allez vous faire ?
Subir un nouvel assaut ?
Vous enfuir en lui tournant le dos ?
Essayer de la mettre "hors combat" ?

L'histoire n'attend que le fruit de votre imagination...

Admin Messages : 306 Date d'inscription : 22/08/2008

Le membre 'Ainkatsiss' a effectué l'action suivante : Lancé de dés

#1 'D6' : 5

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#2 'D6' : 1

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#3 'D6' : 1

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#4 'D6' : 3

Admin Messages : 306 Date d'inscription : 22/08/2008

La mégère s'approche à grands pas du lit, brandissant son poignard rouillé. Vous bondissez du lit, cherchant toutes les deux à échapper à l'assaut. Thétyséa bondit sur la droite du lit, se mettant ainsi à l'abris de l'arme, mais Démécléhenne se retrouve juste sur le chemin de la vieille femme.
L'arme s'abat une fraction de seconde plus tard...

Admin Messages : 306 Date d'inscription : 22/08/2008

Le membre 'Thétyséa' a effectué l'action suivante : Lancé de dés

#1 'D6' : 5

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#2 'D6' : 4

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#3 'D6' : 4

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#4 'D6' : 5

Messages : 11 Date d'inscription : 20/09/2008

Cela ne se déroule pas du tout comme elle l'avait prévu. La vieille se jette sur démécléhenne, et tente maintenant de me poignarder j'esquive (4D+1) à mon tour....

Admin Messages : 306 Date d'inscription : 22/08/2008

Le membre 'AnnS' a effectué l'action suivante : Lancé de dés

#1 'D6' : 1

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#2 'D6' : 2

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#3 'D6' : 5

Messages : 25 Date d'inscription : 24/08/2008

J'esquive (j'ai un bonus de +2)

Admin Messages : 306 Date d'inscription : 22/08/2008

La porte s'ouvre, révélant la mégère en furie, armée d'un poignard dans la main droite. Elle ricane en vous voyant:

"Et vous etes vous aussi un trainée, pouah - une masse compacte de glaire sort de sabouche pour atterir sur le drap qui vous recouvre - vous avez fait fuir une dizaine de clients, et VOUS ALLEZ ME LE PAYER !!!"

Elle se jette sur Démécléhenne, et vous n'aurez même pas le temps de vous lever avant qu'elle soit sur vous.

Maintenant il va falloir déterminer votre conduite. La mégère a déja effectué son attaque, et le jet de dés va suivre votre prochain message. Vous pouvez choisir soit de la tapper FORCE, Lutte (après son coup), soit d'esquiver DEXTERITE, esquive, soit tenter une autre action (se déplacer, ...)

à vous de jouer...

Messages : 11 Date d'inscription : 20/09/2008

Allongées sur le lit (enfin ce que l'on va appeler un lit) je prends le temps de la regarder, elle est belle , délicate, racée avec de bonnes manières, qui est elle ? elle doit à peine être plus vieille que moi, 22, 23 ans peut être...enfin elle, elle a atteint la majorité...c'est sur !!! Je vais faire ce qu'elle me dit, je n'ai plus rien à perdre et certainement tout à y gagner. Peut être est ce Thomas qui l'envoi pour me sauver ou bien mon pauvre père....

le bruit se rapproche , ils sont derrière la porte...

Messages : 25 Date d'inscription : 24/08/2008

La pauvre enfant a l'air complètement déboussolée. J'ai peut-être parlé trop vite, ou bien elle me prend pour une folle... Pas le temps de s'appesantir là dessus. Elle a acquiescé. On va prendre ça pour un bon début. Je l'aide un peu à se rabiller, à se peigner du mieux qu'elle peut. On refait un peu le lit, et on s'y allonge. Le temps de reprendre notre souffle. Je la regarde. Elle a du cran cette petite, assez pour jouer sa vie. C'est exactement quelqu'un comme elle que je cherchais. Avec ça très jolie, un regard pénétrant, profond. Il faut qu'elle tienne le coup... Oui, c'est vrai, et je ne l'ai que trop oublié... Je me promets intérieurement de prendre soin d'elle, si tant est que nous sortons indemnes de cette lugubre chaumière. Et puis il faudra songer aussi à lui apprendre à vivre, à se comporter comme une dame, à jouer la comédie, à faire semblant. Toujours faire semblant... Je sens le remords me remplir le coeur. J'ai eu tort. De quel droit vais-je sacrifier cette pauvre petite, la promettre à un destin fait d'ombres et d'illusions ? C'est une vie abominable. Je le sais. Elle vendra non seulement son corps, mais aussi son âme. C'est inhumain. Je suis inhumaine. Les secondes me semblent interminables. Et ce silence qui pèse, ce silence gêné, qui me hante. Reprends toi. Je ne dois pas faillir. Je ne la connais pas. Elle ne mérite peut-être même pas ma pitié. C'est uniquement ma mission. Elle fait partie du plan.
Je lève les yeux. La poignée tourne. Mon sang se glace. Où serai-je dans une heure ?

Messages : 11 Date d'inscription : 20/09/2008

une main soulève la couverture, je mets mon plan à exécution , je lui saute dessus, l'homme bascule en m'attirant vers lui et en me faisant rouler à terre, plusieurs échange de coup, des bruits de vêtements déchirés des cris de douleurs, je me relève prête à le griffer au visage... quelle est donc cette diablerie ? Je reste pétrifiée.... des flashs se succèdent "s'enfuir" "issue" " arme" "tenancière"... les lèvres de cette personne bougent , je parvint enfin à sortir de ma torpeur.

- Au fait, mon nom est Démécléhenne

c'est donc bien une fille....

elle me fait part de son plan, abasourdie, j'acquiesce . elle me donne la main et m'entraîne vers le lit pour mettre en oeuvre sa stratégie diabolique.

Messages : 25 Date d'inscription : 24/08/2008

La petite garce en face de moi semble avoir la même idée que moi... Mais pour aller où ? Deux femmes aux vêtements arrachés qui s'enfuient de chez la grosse Irma, ça fait louche... Aucun moyen de transport en vue, aucune issue de secours... Il y aurait bien quelque chose... mais... non c'est répugnant. Et puis le temps presse. Ceci dit, cela pourrait bien faire diversion... Je regarde la fille en face de moi. Et aura-t-elle assez de cran ? Elle m'a l'air solide. Elle avait bien fomenté un coup monté contre son premier client... Et puis ça me permettrait de voir si elle a un petit brin d'actrice... Mais si jamais ça ne marche pas... Bah, "à vaincre sans péril on triomphe sans gloire". Je noue les lambeaux de vêtements qu'il me reste de sorte à en faire un semblant de petite tenue. Je me retourne vers la fillette :

"Ecoute-moi, le temps presse. Nous n'avons aucune issue, il nous faut donc rester là. Tu m'as l'air de savoir où il faut cogner pour que ça fasse mal. Quand les deux hommes vont arriver, ils s'attendent à voir une jeune fille mal en point et un homme avec elle. Si au lieu de cela, ils trouvent deux femmes aimantes allongées sur le divan et qui disent les attendre, penses-tu qu'ils consentiront à rester quelques minutes en leur compagnie ? Si oui nous attendrons le moment propice pour leur donner un coup et nous sortirons par l'entrée. La mégère ne nous poursuivra pas seule. Qu'en penses-tu ? Est-ce trop risqué ? Connais-tu une autre solution ?"

Le temps de lui adresser un petit sourire, je lui prends la main et lui dis : "Au fait, mon nom est Démécléhenne".

Admin Messages : 306 Date d'inscription : 22/08/2008

Démécléhenne entre en douceur dans la chambre. Elle remarque tout de suite le lit, occupé.
"C'est comme ceci qu'on acceuille le client ?" dit elle en baissant lentement la couverture.
Soudain telle une furie la prostituée se jette sur Démécléhenne, la faisant basculer en arriere. Mais elle se défend... S'en suit une vrai bagarre qui s'arrete quand Thétyséa découvre que son client est... une femme...

Vous vous séparez en vous regardant d'un oeil noir. Vos vêtement son tous déchirés. Pour couronner le tout, vous entendez la mégère qui monte en hurlant:

"Je vous avit proposé de me la corriger, pas de me la démolir! Attendez un peu que j'appelle Rub et Kriz"

Vous n'êtes pas sures de vouloir attendre, ni la vielle femme, ni les deux gros bras. Il va falloir prendre une décision.

Messages : 25 Date d'inscription : 24/08/2008

Voilà que je sens mon coeur battre plus vite. Incroyable. Et dire que cette trainée pourrait bien remplir mes poches, ainsi que la vie de ce pauvre Gilbert. Et dire aussi que de cette trainée pourrait dépendre mon sort. Je commence à appréhender l'ouverture de la porte. Et si je m'apprêtais à faire une grave erreur ? Comment puis-je être sûre de la réussite de mon entreprise ? Le jeu en vallait-il la chandelle ? Il se pourrait que la gazelle soit laide, ou encore exécrable commédienne, ou pire, tellement stupide que mes concurrents me riraientt au nez lorsque de reviendrais avec elle... Mais encore fallait-il que je revienne avec elle...
Allez que diable ! Du courage Démécléhenne ! Il est hors de question de laisser reposer ma réputation sur la simple chance. Ce mot je l'ai bannit depuis longtemps. J'inspire profondément, en me persuadant que ce que je fais est fondamentalement bon, surtout pour cette pauvre fille que je m'apprête à sauver de cet univers lugubre et glauque. J'abaisse la poignée, et dans un grincement singulier des gonds, la petite porte s'entrouvre...

Messages : 11 Date d'inscription : 20/09/2008

j'ai peur....comme les enfants, je ferme les yeux en espérant ne pas être vu. Le plancher craque, j'entends le bruit de lourdes bottes s'écraser sur le bois. Le bruit se rapproche , mon coeur bat de plus en plus vite, je sens le sang battre sur mes tempes, je serre les dents de peur qu'elles s'entrechoquent....je suis terrifiée.... et en même temps prête à bondir ! je sais que l'entrejambe est le point faible des hommes, j'ai déjà imaginé ce qui va se passer : il va s'approcher, une main tendue pour soulever l'épaisse couverture me recouvrant, à cet instant je bondirais, lui enverrais un magistral coup de pied dans ses parties intimes, je le pousserais pour qu'il tombe, et je me sauverais en courant direction la sortie.